Confidence avec Rémi Leventoux

 

 

© Daniel DAVID 

 

On poursuit nos présentations avec la troisième recrue. 

Rémi LEVENTOUX, grand pivot de 2,02 m, arrivé en 2016 à Pontault, club avec lequel il vit la montée en Lidl Starligue la saison passée.

Il formera le trio avec Henrick JAKOBSEN et Jordan BONILAURI. 

Il nous parle de son parcours juste ici :   

 

 

 

Rémi, qu’est-ce qui t’as poussé à choisir Toulouse ? 



Le FENIX est un club installé en Lidl Starligue depuis des années avec de très belles installations. C’est une équipe compétitive qui n’est, à mon avis, pas à la place qu’elle mérite au classement cette saison.


Que penses-tu pouvoir apporter au groupe toulousain ? 



Après avoir passé 4 ans au PCHB c’est un nouveau défi pour moi de rejoindre une équipe comme Toulouse et c’est avec beaucoup d’enthousiasme et d’envie que j’aborde ce challenge. Je souhaite donc mettre toutes mes compétences au service de l’équipe pour que nous puissions réaliser de grandes choses tous ensemble. 


Pour ceux qui ne te connaissent pas, peux-tu nous en dire plus sur ton parcours sportif ? 

 


J’ai commencé le handball à 14 ans en région parisienne. En seconde, j’ai rejoint le pôle de Chartres et le club un an après. Après le bac j’ai intégré le centre de formation de Montpellier handball dans lequel j’ai passé 3 saisons. A la suite de ça j’ai joué un an à Saintes en National 1 puis un an en Allemagne en deuxième division. Et enfin je viens de passer 4 saisons au club de Pontault-Combault où j’ai connu les joies de la montée en Lidl Starligue en juin dernier. 


Quels sont tes objectifs personnels et collectifs pour l’an prochain ? 



D’un point de vue personnel c’est de progresser chaque jour à l’entrainement et de donner le meilleur de moi-même à chaque fois que j’aurais l’opportunité de jouer. Collectivement, j’espère m’intégrer rapidement à ce collectif qui se connaît bien et qu’on puisse se rapprocher le plus possible du haut de tableau. 

 

Connais-tu un peu l’effectif actuel ?

 

Très peu. Je n’en connais pas personnellement mais j’ai déjà eu l’occasion de croiser à plusieurs reprises certains joueurs sur les terrains. 

 

Philippe GARDENT, Manager général : 

 

« Je le connaissais assez bien. Cela faisait un petit moment qu’il « vivotait » entre la D2 et la D1, et cette année il a fait un très bon début de saison avec Pontault. Nous recherchions un profil de pivot avec un grand gabarit mais qui pouvait aussi défendre. Je pense qu’il a une belle marge de progression. Nous n’avons pas hésité longtemps car il était intéressant et avait du potentiel. »